Vous n'avez pas la moindre licence à payer

legalisationHormis quelques rares applications métier hyper-spécialisées, les systèmes installés par Simplix sont non seulement libres, mais aussi gratuits, c'est-à-dire soumis à aucune licence. Cela vaut aussi bien pour le système d'exploitation que pour la panoplie d'applications dont vous aurez besoin au quotidien. Si jamais vous êtes curieux et vous vous demandez comment un tel modèle économique peut bien fonctionner, je vous conseille la lecture de l'excellent ouvrage de François Élie, Économie du logiciel libre.

legalisationSans rentrer dans les détails, considérons tout simplement les conséquences immédiates à l'aide d'un cas pratique. Admettons que vous soyez une PME et que vous souhaitiez installer un petit réseau de six postes de travail, reliés à un serveur. Si vous optez pour une solution propriétaire (Microsoft Windows ou Apple OS X), vous aurez à faire face aux coûts suivants :

  • le matériel,
  • l'installation et la configuration du serveur,
  • l'installation et la configuration des postes de travail,
  • la licence pour le serveur,
  • les licences pour chaque poste de travail,
  • les licences pour les applications, multipliées par le nombre de postes de travail,
  • les frais de formation.

legalisationNotez que certains systèmes comme Windows Server vous obligent à payer une licence pour chaque poste client relié au serveur. C'est un peu comme si Chambéry métropole (Service des eaux) décidait de majorer ses factures en fonction du nombre de personnes qui viennent boire au robinet.

Imaginons maintenant la même configuration avec un réseau Simplix. Voici ce que vous aurez effectivement à payer :

  • le matériel,
  • l'installation et la configuration du serveur,
  • l'installation et la configuration des postes de travail,
  • la licence pour le serveur,
  • les licences pour chaque poste de travail,
  • les licences pour les applications, multipliées par le nombre de postes de travail,
  • les frais de formation.

Notez aussi que les consultants orientés Microsoft ont l'habitude de mettre en garde leur clientèle contre les frais de formation associés à une migration sous Linux. Ce genre de prévisionnel budgétaire part généralement du principe que toute compétence Windows est acquise de droit divin.

Conclusion : y'a moins bien, mais c'est plus cher.